• Jean-Pierre Petit conférence 2002
    envoyé par tokamac

    Jean-Pierre Petit est un scientifique français, né le 5 avril 1937 à Choisy-le-Roi. Il a été directeur de recherches au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), spécialiste en mécanique des fluides, physique des plasmas et magnétohydrodynamique (MHD). Il est surtout connu auprès du grand public pour ses ouvrages de vulgarisation scientifique, par ses livres, la série des bandes dessinés Anselme Lanturlu (tous présentant ses travaux scientifiques) ainsi que ses recherches dans le domaine de l'ufologie et particulièrement sa participation à l’affaire Ummo, dont il a été le principal vulgarisateur au travers de ses livres.

    Biographie

    Né à Choisy-le-Roi de Bernard Lévy et d’Andrée Christine Petit. À l’issue de ses études secondaires effectuées au lycée Carnot de Paris, il obtient le baccalauréat et entre en classe préparatoire scientifique au lycée Condorcet. Il intègre alors Supaéro où il se passionne pour la mécanique des fluides. Il obtient son diplôme d’ingénieur en 1961. Parcours professionnel Dans les années 1960, il est employé durant un semestre au centre d'essai de la Société d'étude de la propulsion par réaction (SEPR, future Société européenne de propulsion) en qualité d'ingénieur d'essai dans un centre situé à Istres où on procède à la mise au point des moteurs des premiers missiles nucléaires intercontinentaux MSBS.

    Il préfère intégrer le monde de la recherche et entre en 1965 en qualité d'ingénieur de recherche à l'Institut de mécanique des fluides de Marseille, laboratoire associé au CNRS. Il y effectue ses premières recherches en magnétohydrodynamique. En 1972, il est titularisé au CNRS après avoir passé sa thèse. En 1974, Jean-Pierre Petit abandonne officiellement la recherche expérimentale en MHD et entre à l'Observatoire de Marseille où il se reconvertit dans la recherche théorique en astrophysique. Néanmoins, il continue en parallèle ses recherches expérimentales sur les aérodynes MHD, jusqu'en 1987.

    Convalescent après de nombreux mois d'hospitalisation suite à un accident du travail en octobre 1976 (rupture d'élingue d'un électroaimant de 250 kg), il devient entre 1977 et 1983 sous-directeur du Centre de calcul de l'Université de Provence où il crée le Centre informatique d'enseignement. Il y développe avec les étudiants du département de philosophie des logiciels de CAO, tels que Superpangraphe et Screen commercialisés en 1978. Sa bande dessinée d'initiation à la CAO intitulée Pangraphe, accompagnée de programmes en BASIC, paraît en 1984 chez P.S.I. Il est retraité du CNRS depuis avril 2003.

    Source :Wikipédia

    Univers jumeaux

     

    Note perso : De quoi réfléchir sérieusement ! Pensez à l'affirmation ; "Le maitre des deux univers (Rab el 3lamine" contenue dans le Saint Coran ( tel que se définit Dieu).A moins que je ne me trompe .En tous cas les travaux de ce chercheur ,classé parmi les"conspirationistes" parce qu'il dérange les "bien pensants" sont du plus haut interet scientifique .

    Site de Jean Pierre Petit :http://www.jp-petit.org//p

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  • Le peuple américain est loin d'etre idiot et ses enfants ont compris ,dans leur peau ,les enjeux qui les prennent en otage . 

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  • Un celebre morceau du grand théoricien de la Musique : John Cage . Tout ce qui existe devellope,produit sa propre musique .Nous sommes de la musique et participons a la musique universelle. John Cage nous réapprend a écouter ,nous remettre en question et ,a ...sourire !

    Sa biographie ,selon Wikipédia (Attention ce n'est pas une référence absolue):

    Élève de Schoenberg, il s'est illustré comme compositeur de musique contemporaine expérimentale et comme philosophe, inspirateur, entre autres, du mouvement Fluxus. Son expérimentation la plus célèbre est probablement 4′33″, silence permanent pour un(e) interprète pendant laquelle il/elle ne joue pas. Malgré son titre, cette pièce est d'une durée libre, trois mouvements devant cependant être indiqués en cours de jeu. Souvent interprétée par le pianiste David Tudor, posant simplement les mains sur le clavier pour entendre les bruits venant du public ou d'alentour dans une invitation à l'écoute. Cette expérimentation prétend souligner l'importance qu'accordait John Cage au silence du fait d'une expérience en chambre anéchoïque dans laquelle il s'aperçut que "le silence n'existait pas car deux sons persistent" : les battements de son cœur et le son aigu de son système nerveux. Comme le dit Yōko Ono, John Cage « considérait le silence comme une vraie note ». Il est courant de prétendre qu'en 1935, faute de place pour pouvoir utiliser des instruments de percussions pour les besoins d'une œuvre destinée à accompagner une chorégraphie de Syvilla Fort, Cage a inventé le piano préparé. Cette idée lui a en fait été suggérée par Henry Cowell, dont il fut l'élève en 1934, et qui faisait déjà de nombreuses expériences dans ce sens depuis les années 1910 (The Banshee, 1917). Cage fut très influencé par le livre New Musical Resources écrit par Cowell avec l'aide d'un professeur de Stanford à partir des leçons du professeur Charles Seeger. Il composa de nombreuses pièces pour piano préparé dont les Sonates et interludes, où le pianiste doit insérer de manière précise entre certaines cordes du piano des objets divers comme des boulons ou des gommes servant à en transformer le son. Il a collaboré avec le chorégraphe Merce Cunningham, dont il a partagé la vie durant 50 ans[1] et créé pour lui des musiques fondées sur le principe d'indétermination en utilisant la méthode de tirage aléatoire du Yi-king. Le mot « aléatoire » doit s'entendre chez John Cage, en anglais, comme chance et non pas random. L'étrangeté de ses compositions laisse transparaître l'influence du compositeur Erik Satie, auteur en son temps incompris de compositions très originales, comme les ésotériques Gnossiennes ou les très sobres et célèbres Gymnopédies. Cherchant à épurer sa musique, il eut la particularité d'écrire ses œuvres sans ponctuation musicale, laissant au pianiste comme seules indications des descriptions d'atmosphère au lieu des traditionnelles nuances. Le travail de John Cage s'appuie sur la recherche et l'expérimentation. Il fut lauréat du Prix de Kyōto en 1989.

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